Rebecca, marathonienne des Jeux Olympiques de Paris 2024, a tragiquement perdu la vie à l’âge de 33 ans après avoir été brûlée à 75% par son compagnon, sous les yeux de ses enfants. Cet acte d’une violence inouïe a laissé toute une communauté sous le choc. Le drame s’est produit dimanche dernier et malgré les efforts des médecins pour la sauver, Rebecca a finalement succombé à ses blessures.
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Rebecca était une sportive accomplie, ayant représenté son pays lors des Jeux Olympiques de Paris 2024. Son parcours inspirait de nombreuses personnes, en particulier les jeunes femmes qui voyaient en elle un modèle de détermination et de réussite. Ses performances sur les pistes et les marathons témoignent de sa force mentale et de sa persévérance. Mais derrière cette figure de championne, une autre réalité s’est dévoilée, celle d’une femme en constante dispute familiale avec son compagnon selon un rapport de police.
La marathonienne Rebecca emporté par la violence
En effet, le jour du drame, son compagnon, le nommé Dickson Ndiema Marangach l’a agressé de manière cruelle après s’être introduit chez elle vers 14h heure locale avant son retour de l’église. Il l’a aspergé d’essence et l’a brûlé vif devant ses enfants âgée de 9 et 11 ans selon le quotidien le Standard. Cet acte de barbarie a bouleversé la vie de ses proches et ému des milliers de personnes dans le monde. Ses filles, traumatisées, devront désormais grandir sans leur mère marquée à jamais par cette tragédie. Le monde entier perd ainsi une grande marathonienne qui a su marquer les esprits par son talent.
« Nous avons appris le triste décès de notre athlète olympique Rebecca Cheptegei à la suite d’une violente agression par son petit ami. Que son âme repose en paix et nous condamnons fermement la violence contre les femmes. » a déclaré Donald Rukare dans un message sur X, déplorant « un acte lâche et insensé qui a conduit à la perte d’une grande athlète. »
Malheureusement, Rebecca n’est la première athlète ni la première femme à subir ce genre de barbarie. Son histoire rappelle une fois de plus l’urgence de la lutte contre les violences faites aux femmes, tout en soulevant des questions sur la protection des victimes de violence conjugales.
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