Booba mène une lutte sans merci face aux influenceurs. Sa virulence face à Magali Berdah notamment lui a ouvert la porte de problèmes avec la Justice.
Booba tempère devant la Justice
On le sait, Booba a plein d’ennemis. Il aime le faire savoir sur les réseaux. Parmi les têtes de liste depuis plusieurs années, les influenceurs sont, sans aucun doute, dans le top 3, et sûrement pas troisième. Tout en haut de ces influenceurs, Magali Berdah, agente d’influenceurs, était la cible privilégiée de Booba. Attaquée à de nombreuses reprises par le rappeur, ce dernier s’est vu rappelé à l’ordre par la Justice. Ce 29 janvier, le duc de Boulogne a été convoqué par le juge d’instruction. Le juge et Booba ont échangé pendant une vingtaine de minutes où ce premier l’a mis en garde sur les autres leviers possibles de la Justice pour condamner Booba et « assurer la tranquillité de Madame Berdah. »
Le juge a aussi reprécisé les conditions de son placement sous contrôle judiciaire depuis octobre : ne pas contacter Magali Berdah. Aux yeux de la loi, sur Twitter, un contact s’entend comme une interaction directe, c’est-à-dire un message privé ou l’utilisation de la fonction « mention. » Le rappeur a donc le droit d’évoquer l’agente d’influenceurs, de relayer des articles, mais jamais d’utiliser la fonction « tag. » Après ces précisions, le rappeur a confirmé au juge qu’il n’entrerait plus en contact avec elle selon cette définition : « Je relaierai des décisions de justice […] mais je ne la taguerai plus, […] ni me moquerai d’elle. »
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Un deuxième échange avec la Justice après octobre
Booba a donc été rappelé à l’ordre ce 29 janvier après avoir été auditionné le 2 octobre dernier pour « harcèlement moral aggravé. » Il avait alors été placé sous contrôle judiciaire. Conséquences : Booba n’a plus le droit de la contacter ni de l’interpeller sur les réseaux.
Pourtant, le rappeur avait de nouveau identifié Magali Berdah le 28 octobre sur une vidéo sur laquelle celle-ci qualifiait de cyberharcèlement ce qu’elle subissait. Booba avait simplement publié : « J’ai arrêté de parler d’elle et c’est elle qui me harcèle maintenant ? @MagaliBerdah » C’est ce Tweet qui a valu ce rappel à l’ordre de ce 29 janvier 2024.
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