Koba LaD risque 20 ans de prison pour la séquestration de son ancien manager Deuspi

Koba LaD collectionne les méfaits comme des perles. Il est dans une affaire grave dans laquelle il est accusé d’agression et de séquestration sur son ancien manager Deuspi.

Koba LaD abonné aux problèmes judiciaires

Enchaînement en série entre polémiques et problèmes avec la justice ! Dernièrement, Koba LaD a fait un passage en prison pour une rixe dans une boîte de nuit. D’ailleurs, il a purgé 4 mois de prison. Sur les réseaux sociaux, il s’est fait remarquer en raison ses propos homophobes qui lui a valu d’être écarté de plusieurs festivals. Le rappeur du Bât 7 ne semble pas encore éloigner des soucis. En effet, il est impliqué dans une nouvelle affaire grave. Koba LaD aurait tabassé son ancien manager.

La victime est Deuspi. Ce dernier prenait en charge la carrière de Koba LaD. Cependant, il s’est séparé du rappeur pour une histoire de contrats. L’artiste du Bât 7 a décidé de s’éloigner de son ancien manager puisqu’il accusait Deuspi d’avoir détourné une énorme somme d’argent concernant la signature de contrats. Le rappeur a donc décidé de reprendre son dû avec une extrême violente.

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Deuspi porte plainte contre le rappeur du Bât 7

Le rappeur dans des sales draps ! L’homme de 23 ans pourrait retourner en prison pour une longue durée, cette fois. Deuspi, son ancien manager, était victime d’une attaque de 4 hommes proches afin de réclamer 200 000 euros, d’après les informations du Parisien. Il semblerait avoir été séquestré et agressé avec la participation de l’artiste. La victime a décidé de porter plainte deux mois après les faits. Le rappeur aurait avoué sa culpabilité auprès des enquêteurs.

20 ans de prison. C’est la peine encourue pour la tête d’affiche du rap français. Koba LaD semblerait rejoindre à nouveau le placard au regard de ses propos devant la police judiciaire de Seine-et-Marne. Pour cause, il aurait dit qu’il avait agressé son ancien manager, selon le Parisien. De plus, son implication serait avérée d’après ses déclaration dans une cellule d’une prison où des micros ont été cachés. « Il a porté plainte deux mois après qu’on lui a cassé la gueule, contextualise l’artiste sur écoute. C’est une poukave (une balance ndlr.), on l’a tapé en avril ».