La nouvelle annonce du Conseil d’État fait déjà réagir. En effet, il vient d’annoncer le droit pour les enfants transgenres d’utiliser le prénom à l’école de leur choix. Une initiative qui fait réagir notamment le rappeur Booba. Cependant, cela semble une excellente avancée pour la cause LGBT et ainsi les enfants transgenres. L’éducation nationale se donne une image plus inclusive. Néanmoins, Booba dénonce ce choix qu’il estime être une preuve de laxisme.
C’est avec humour que le rappeur parle de cette décision d’état. En effet, il met en scène sur Twitter son fils en déclarant qu’il aura un soucis avec l’éducation nationale si on oblige son fils à s’appeler « Mireille ». Or, de cet exemple, il démontre son désaccord face à cette nouvelle norme. Néanmoins, c’est une décision de la haute justice administrative et elle n’est pas contestable. Cette dernière estime qu’empêcher cela pourrait entraver leur apprentissage scolaire.
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Un Conseil d’État inclusif
« Aucun citoyen ne pourra porter de nom ni prénom autres que ceux exprimés dans son acte de naissance », extrait de la loi de 1794 sur le choix des prénoms à l’école. En effet, cette loi serait un recours à la décision du Conseil d’état. Cependant, ce dernier a rétorqué que l’utilisation du prénom s’appliquerait à la vie interne des établissements scolaires. Néanmoins, lors des épreuves de fin d’année, c’est bien le nom de naissance qui serait d’usage. Ainsi, l’éducation nationale rend la scolarisation inclusive. À contrario de l’avis de Booba et d’autres parents.
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