Marion Maréchal, figure politique française, a exprimé son mécontentement concernant la performance d’Aya Nakamura lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024. L’ancienne députée a exprimé sa déception sur les réseaux sociaux, critiquant sévèrement le choix de l’artiste pour un événement aussi prestigieux.
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Dès la fin du spectacle, Marion Maréchal a pris la parole sur X pour partager son opinion. Elle a qualifié la performance d’Aya Nakamura de non approprier et a exprimé sa frustration quant à la direction artistique de la cérémonie. Elle a tweeté visiblement agacée : « je regarde la #ceremoniedouverture des JO avec mes enfants. Difficile d’apprécier les rares tableaux réuissis entre les Marie-antoinettes décapitées, le trouple qui s’embrasse, des drag queens, l’humiliation de la garde républicaine obligée de danser sur du Aya Nakamura, la laideur générale des costumes et des chorégraphie ».
Des réactions en chaîne sur les réseaux sociaux suite aux critiques de Marion Maréchal
Selon elle, le choix d’Aya Nakamura ne reflète pas les valeurs et l’élégance attendues pour un événement de cette envergure. Elle rajoute : « On cherche désespérément les valeurs du sport et de la beauté de la France au milieu d’une propagande woke aussi grossière. »
Cette critique a suscité des réactions variées sur les réseaux sociaux. D’un côté, pour les partisans de Marion Maréchal, les choix musicaux étaient inappropriés pour l’occasion : « Elle chante Djadja j’suis pas ta catin devant l’institut de France. C’est la marque du declin civilisationnel de la France. Quelle tristesse ! ». D’autres par contre ne sont pas du même avis qu’elle : « C’est ça la culture française, faudra t’y faire » ou encore « Normal, t’es rester bloquer au moyen-âge ».
Le débat reste ouvert, et il est clair que la performance d’Aya Nakamura à la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2O24 ne laissera personne indifférent. Pour l’instant, les avis divergent fortement, mais une chose est certaine : Aya Nakamura continue de faire parler d’elle, que ce soit en bien ou en mal.