Un débat historique. En effet, depuis quelques années, la question de la diversité dans le milieu audiovisuel pose question. Dès lors, de nombreuses adaptation récentes ont remis le débat au centre de l’actualité. Notamment, Cléopâtre, la Petite Sirène, La Reine Charlotte.
En outre, on peut se rappeler du personnage d’Ariel dans le film live-action La Petite Sirène, qui avait fait polémique en raison du non-respect de la couleur de peau du personnage original. Néanmoins, cela est dû aux castings « color blind » des productions actuelles. Or, les débats sont plus vifs du côté des adaptations historiques.
On peut le constater pour les productions Netflix de Cléopâtre et de La Reine Charlotte. Dès lors, le ministère égyptien des Antiquités a voulu trancher. Le reine d’Égypte avait la « peau blanche et des traits hellénistiques », insistait alors Moustapha Waziri en réponse à la plateforme de streaming. Or, à chaque fois qu’une actrice ou non-blanche interprète un rôle d’un personnage à peau blanche, les polémiques fusent sur les réseaux sociaux.
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Cléopâtre, la Petite Sirène : Une diversité contestée !
La diversité est contestée et semble déranger. En effet, « Le fait de travailler à avoir davantage de diversité devant et derrière la caméra s’inscrit dans une ligne progressiste que développent les plateformes de streaming, comme les autres entreprises de la Silicon Valley », analyse Louis Wiart, auteur de Quand Netflix fait de la diversité son meilleur argument commercial. Dès lors, les choix artistiques de certaines productions contreviennent au faits historiques, malgré leur volonté de mettre de la diversité à l’écran.
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