« Je suis limite tombée en dépression »: Imen Es se confie sur les moqueries de sa chirurgie esthétique [VIDÉO]

Depuis de nombreux mois, la chanteuse Imen Es accumule les polémiques malgré elle. La jeune femme subit des moqueries en raison de son BBL (chirurgie qui consiste à augmenter le volume des fesses). Invitée dans Planète Rap, l’interprète de « Joujou » s’est alors confiée par rapport aux railleries dont elle fait l’objet.

Il y a quelques heures, Imen Es était aux côtés de Fred Musa, animateur de Skyrock, dans l’émission Planète Rap. Ce dernier a ainsi questionné la chanteuse sur le stress qu’elle ressentait avant de monter sur scène: « C’est juste après le Zénith de Paris, je suis tombée dans une polémique de fou et du coup j’avais limite perdu confiance en moi. J‘étais pas bien, j’étais stressée, je pleurais chez moi, les gens le savaient pas forcément. Je suis tombée limite dans une dépression de fou. Et eux ils comprenaient pas (ses proches) et me disaient ‘il faut que tu surmontes ça’ et je leur disais que ‘c’était plus fort que moi, que j’y arrivais pas’ ».

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Imen Es réagit sur la polémique concernant sa chirurgie esthétique

Dès lors, Fred lui demande d’en dire plus sur cette polémique (qui concernce sa supposée chirurgie esthétique) et Imen Es lui répond: « Les gens m’ont jugé face à mon physique. Je viens pour donner une performance de fou et les gens ne sont pas là pour t’écouter mais pour te piquer sur les réseaux sociaux ». Et face à cette réponse, l’animateur lui lance alors « Mais pourquoi tu regardes encore les réseaux sociaux ? ».

Ce à quoi la chanteuse lui dit: « J’ai des frères, des soeurs, j’ai mon mari. Moi je peux couper les réseaux mais pas eux. Mon mari, mes soeurs touchés. Même ma mère qui regarde beaucoup mes réseaux (…) Le fait de voir ma mère pas bien, de voir tout le monde pas bien, je me suis dit ‘c’est dingue de voir que les gens n’écoutent plus ce que je fais mais regardent ce que je suis ».

C’est alors en parlant des dangers de l’harcèlement qu’Imen Es déclare: « Je me suis dit ‘je vais y retourner, ça se trouve que je vais même pas pouvoir me relever après ça. Du coup stress, ulcère, je suis partie à l’hôpital le soir même parce-que j’en pouvais plus. J’arrivais même plus à respirer. Je faisais des crises d’angoisse (…) En allant là-bas je me suis dit ‘mais en fait, ils ont gagné mais c’est pas possible (…) c’est mort, ils me l’ont fait une fois, je m’en veux, la prochaine c’est mort, ils vont pas gagner une deuxième fois‘ ».